On l’a connu ministre au verbe haut, puis endossant une marinière, il a défendu les produits fabriqués en France et depuis peu, Arnaud Montebourg se consacre à des produits natures : miel et amande par exemple.
Depuis deux ans déjà, celui qui préside la compagnie des amandes se rend à la fête de l’amande à Oraison avec une idée bien en tête : relancer l’amandiculture de Haute-Provence.
Il y a 50 ans à peine, le plateau de Valensole était peuplé d’amandiers et aujourd’hui, Jean-Pierre Jaubert (premier producteur français quand même) est bien isolé. L’idée de relancer la filière amande n’est pas nouvelle. Vous entendrez deux Bas-Alpins en parler dans un instant. Mais les écueils sont nombreux. Investissement lourd et pas de production pendant 5 années, de quoi freiner les candidats. C’est là qu’intervient Arnaud Montebourg. Il a posé un cadre juridique sécurisant pour l’exploitant et finance même l’avant-récolte à hauteur de 700 € l’ha et également il assure conseils, suivi, transformation voire commercialisation des produits.
Sur le papier, le projet est séduisant. Mais en pratique, il faut convaincre les futurs exploitants et sur les terres de Pagnol ou Giono, on sait combien méfiance et défiance font constance. D’où la venue à Digne d’Arnaud Montebourg et du directeur général de la compagnie des amandes François Moulias.
Accueillis par le président du Département René Massette et son délégué à l’agriculture Pierre Pourcin, les deux hommes ont rencontré quelques exploitants mais ont regretté l’absence de jeunes agriculteurs alors que les perspectives d’un fruit aux multiples usages sont porteuses d’avenir.
Cinq cents tonnes à peine sont produites en France sur les 40 000 du marché intérieur qui ne cesse de croître. Un dossier à suivre donc d’autant plus qu’un projet de construction d’une casserie pourrait concerner les Alpes de Haute-Provence. Pour l’instant, écoutons André Pinatel, personnalité de l’agriculture régionale et Michel Doucet, le confiseur d’Oraison. Tous deux espèrent un développement de la filière amandes dans le département. Mais d’abord, le président de la compagnie des amandes Arnaud Montebourg.
Depuis deux ans déjà, celui qui préside la compagnie des amandes se rend à la fête de l’amande à Oraison avec une idée bien en tête : relancer l’amandiculture de Haute-Provence.
Il y a 50 ans à peine, le plateau de Valensole était peuplé d’amandiers et aujourd’hui, Jean-Pierre Jaubert (premier producteur français quand même) est bien isolé. L’idée de relancer la filière amande n’est pas nouvelle. Vous entendrez deux Bas-Alpins en parler dans un instant. Mais les écueils sont nombreux. Investissement lourd et pas de production pendant 5 années, de quoi freiner les candidats. C’est là qu’intervient Arnaud Montebourg. Il a posé un cadre juridique sécurisant pour l’exploitant et finance même l’avant-récolte à hauteur de 700 € l’ha et également il assure conseils, suivi, transformation voire commercialisation des produits.
Sur le papier, le projet est séduisant. Mais en pratique, il faut convaincre les futurs exploitants et sur les terres de Pagnol ou Giono, on sait combien méfiance et défiance font constance. D’où la venue à Digne d’Arnaud Montebourg et du directeur général de la compagnie des amandes François Moulias.
Accueillis par le président du Département René Massette et son délégué à l’agriculture Pierre Pourcin, les deux hommes ont rencontré quelques exploitants mais ont regretté l’absence de jeunes agriculteurs alors que les perspectives d’un fruit aux multiples usages sont porteuses d’avenir.
Cinq cents tonnes à peine sont produites en France sur les 40 000 du marché intérieur qui ne cesse de croître. Un dossier à suivre donc d’autant plus qu’un projet de construction d’une casserie pourrait concerner les Alpes de Haute-Provence. Pour l’instant, écoutons André Pinatel, personnalité de l’agriculture régionale et Michel Doucet, le confiseur d’Oraison. Tous deux espèrent un développement de la filière amandes dans le département. Mais d’abord, le président de la compagnie des amandes Arnaud Montebourg.